31 mai 2023 - 2 juin 2023

Cour supérieure du Québec

Cette assemblée divisionnaire a misé sur les trois dimensions de la formation judiciaire que sont l’acquisition des connaissances, le développement des compétences et habiletés et la sensibilisation au contexte social entourant divers enjeux de droit et de justice. Les thèmes suivants ont été abordés en profondeur au début de la formation : les enjeux liés aux justiciables non représentés et l’outrage au tribunal. D’autres séances ont porté sur les ordonnances de sauvegarde en matière familiale, la notification hors Québec, et les émojis, les émoticônes et les autres pictogrammes et sur la manière dont le droit s'en saisit. Complétaient le programme de formation deux séances facultatives portant sur des outils numériques de l’Institut national de la magistrature qui permettent aux juges de travailler de manière plus efficace.

Nombre de participants : 121

Overview

Cette assemblée a permis aux participants d’explorer un vaste éventail de sujets pertinents à l’exercice de leurs fonctions. Les sujets ont été choisis de manière à intéresser l'ensemble des juges de la Cour, qu’ils siègent en matière civile, criminelle, ou les deux.  

Objectives

Cette formation d’une journée et demie misait sur des méthodes d’apprentissage variées (exposés magistraux, questions télévoteurs, discussions en petits groupes, entretien) et visait à permettre aux participants d’acquérir de nouvelles connaissances sur des sujets divers et de nouvelles compétences et de nouveaux outils qu’ils pourront mettre en application dans leur pratique quotidienne. Le programme visait également à sensibiliser les participants au contexte social entourant certains de ces sujets. 

Summary

 Cette assemblée divisionnaire a misé sur les trois dimensions de la formation judiciaire que sont l’acquisition des connaissances, le développement des compétences et habiletés et la sensibilisation au contexte social entourant divers enjeux de droit et de justice. Les thèmes suivants ont été abordés en profondeur au début de la formation : les enjeux liés aux justiciables non représentés et l’outrage au tribunal. D’autres séances ont porté sur les ordonnances de sauvegarde en matière familiale, la notification hors Québec, et les émojis, les émoticônes et les autres pictogrammes et sur la manière dont le droit s'en saisit. Complétaient le programme de formation deux séances facultatives portant sur des outils numériques de l’Institut national de la magistrature qui permettent aux juges de travailler de manière plus efficace.