26 octobre 2017

Symposium de la Cour suprême du Canada 2017

Ce symposium, accessible par webdiffusion, était un programme d’une journée qui a examiné la place qu’occupe la Cour suprême du Canada dans le système judiciaire et la société civile en général. Des juristes canadiens et des juristes provenant d’autres pays y ont participé.

Nombre de participants : 43

Aperçu

Ce symposium, accessible par webdiffusion, était un programme d’une journée qui a examiné la place qu’occupe la Cour suprême du Canada dans le système judiciaire et la société civile en général. Des juristes canadiens et des juristes provenant d’autres pays y ont participé.

Objectifs

L’objectif de ce symposium était de fournir une tribune libre pour que les Canadiennes et les Canadiens puissent apprendre au sujet du rôle et des défis de la Cour suprême du Canada dans la société, tant au cours de l’histoire qu’à l’avenir, et participer à des discussions à ce sujet.

Sommaire

Le symposium a débuté avec une session dirigée par la très honorable Beverly McLachlin, juge en chef de la Cour suprême du Canada à l’époque.  Un panel composé d’anciens leaders fédéraux et provinciaux a discuté du rôle et des limites de la Cour suprême, et ce, avant et après la mise en application de la Charte canadienne des droits et libertés, en particulier sur les questions vastes et/ou transformationnelles des politiques publiques. Reconnaissant l’importance et le rôle éducatif de la Cour suprême, une séance s’est concentrée sur sa relation avec la société dans l’ère de médias sociaux. Cette séance a analysé la façon dont ces nouveaux médias ont eu un impact sur la couverture médiatique accordée à la Cour et à ses décisions, en plus de la manière dont celle-ci communique aujourd’hui avec les Canadiennes et les Canadiens. La séance de clôture du symposium a fourni une occasion aux participants de contribuer  à une discussion sur l’avenir de la Cour suprême du Canada pour évaluer sa pertinence dans 50 ans.