23 septembre 2021 - 24 septembre 2021

Cour supérieure du Québec : Assemblée générale annuelle 2021

Cette assemblée virtuelle a permis aux participants d’explorer un vaste éventail de sujets pertinents à l’exercice de leurs fonctions, dont l’usage de la technologie à la Cour, le stress, les nouveaux principes déontologiques du Conseil canadien de la magistrature et la rédaction de jugements.

Nombre de participants : 178

Aperçu 

Cette assemblée virtuelle a permis aux participants d’explorer un vaste éventail de sujets pertinents à l’exercice de leurs fonctions, dont l’usage de la technologie à la Cour, le stress, les nouveaux principes déontologiques du Conseil canadien de la magistrature et la rédaction de jugements.  

Objectif 

Tout au long de la formation qui misait sur des méthodes d’apprentissage variées, les participants ont acquis de nouvelles connaissances sur des sujets divers, mais aussi de nouvelles compétences et de nouveaux outils qu’ils pourront mettre en application dans leur pratique quotidienne. Ils se sont également vus sensibilisés non seulement au contexte social entourant certains de ces sujets, mais aussi à la question de la santé mentale. 

Sommaire 

Cette assemblée générale annuelle a misé sur les trois piliers de la formation judiciaire que sont l’acquisition de connaissances, le développement de compétences et habiletés et la sensibilisation au contexte social entourant divers enjeux de droit et de justice. Elle a au surplus permis d’explorer la question de première importance de la santé mentale. Elle a débuté par une présentation qui visait à démystifier la définition populaire du stress et à résumer les découvertes scientifiques des 30 dernières années sur les mécanismes et les effets du stress sur la santé physique et mentale. Le reste de la journée avait pour thème la technologie à la Cour, un sujet qui a été abordé sous différents angles, en faisant appel à des experts de la pratique privée et du monde universitaire. La journée s’est achevée par une présentation sur les promesses et les limites de l’intelligence artificielle dans le domaine juridique. La deuxième journée était consacrée aux nouveaux principes déontologiques du Conseil canadien de la magistrature et l’art de rédiger un jugement.